Affichage des articles dont le libellé est Actualité. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Actualité. Afficher tous les articles

samedi 2 février 2008

Avé Jérôme !

Lorsqu'un homme fait "sauter la banque" c'est toujours toute une histoire. On en a connut pas mal des hommes capable de tous faire péter en une seconde, de se faire une vie avec l'argent des banques... Historique.

Le 18 juillet 1976, on découvre qu'un gang a pénétré dans la salle des coffres de la Société générale de Nice en passant par les égoûts et s'est emparé d'un butin estimé à 50 millions de francs, ou 5 milliards d' "ancien francs", soit un peu plus de 7,5 millions d’euros (26 millions d’euros en euros courants). La société générale était déjà en proie à la malveillance de méchants voleurs mais aussi et surtout d'un manque de sécurité materielle. La police arrête un certain Albert Spaggiari, un photographe alors inconnu des services de police, qui s'avère être le cerveau du groupe d'une douzaine d'hommes. Spaggiari parvient à s'échapper du palais de justice et disparaît en Amérique du Sud, puis revient plus tard en France pour mourir à Belluno en Italie d'un cancer de la gorge en 1989. Le butin ne sera jamais retrouvé.
Le dimanche 25 mars 1990, 31,4 millions de francs suisses - soit 220 kg de billets - ont été volés à l'Union des banques suisses (UBS) de Genève. Le butin n'a jamais été retrouvé. Le gang corse de la « Brise de mer » a été accusé de ce forfait et quatre de ses membres emprisonnés : André Benedetti, Alexandre Chevrière et les frères Joël et Jacques Patacchini. L'enquête montre qu'ils ont disposé de complicités à l'intérieur de la banque, ce qui encore une fois est le preuve que les méfaits sont en partie dût au manque de sécurité interne au groupe bancaire.
Le 15 février 2003, 123 des 189 coffres du Centre anversois du diamant, un établissement réputé pour ses mesures de sécurité, ont été vidés de leur contenu. Une seule personne sera interpelée, les complices et le butin courent toujours. Une fois encore, la fameuse "sécurité infranchissable" a été contournée.

Des casses bancaires j'en passe. Mais les gangsters ne sont pas les seuls à mettre les banques en difficulté face à leur systèmes de sécurité défaillante. En effet, les traders ou plus officiellement les "opérateurs de marché" ne sont pas en reste. En 1995 déjà, Nick Leeson avait mit en difficulté la Barings en l'entrainant dans des opérations boursières périlleuses sur les produits dérivés. Il aurait pu et avait déjà gagner des sommes faramineuses mais le tremblement de terre de Kobe a entrainé une chute brutale des marchés japonnais sur lesquels il spéculait. Pour entrainer ces lourdesperts, il a bien fallut qu'il engage de fortes sommes d'argent, ce qui ne lui était possible qu'en recourant à la fraude. C'est ce qu'il fît sans aucune difficulté. Aussi dénoncera-t-il plus tard dans son autobiographie "Rogue Trader" parue en en 1997 le manque de surveillance voire la complicité de celles-ci dans les opérations à risque en principes interdites ainsi que les pressions dont sont victime les opérateurs de marché.
Récemment, on a eut connaissance des pertes conscéquantes enregistrées par la Société Générale du fait des importantes transactions risquées effectuées par le désormais célèbre et incontournable "Jérôme Kerviel". 4,9 milliards d'€uros, record battu, il est le roi du casse, le cérar de la finance, le robin des bois du monde bancaire, le Zinedine Zidane de la bourse, le héro d'une génération d'étudiants en économie, la star d'internet. Bref, il est devenu une légende et il ne faudrait pas que l'on nous l'abime. C'est pourquoi, nous, ROSS & WICHCRAFT étudiants en économie demandons que monsieur Kerviel, tout comme monsieur Botton soient soutenus dans ces moments difficiles et que l'on ne leur jette pas la pierre. Regerdons plutôt les défaillances de notre monde bancaire et la dérive inhumaine du monde boursier.

vendredi 28 décembre 2007

Après avoir été la première à formuler ses voeux à la télévision ou en podcast, la Reine d'Angleterre s'invite sur le site de partage de vidéo YouTube avec une chaîne baptisée The Channel Royal.

Même les sarcatisques comiques de Groland n'y avaient pas pensé. Profiter de YouTube pour adresser ses voeux de Noël au monde entier.

A 81 ans, et après avoir été la première en 1957 à utiliser la télévision pour souhaiter ses meilleurs voeux à ses concitoyens, la Reine Elizabeth II d'Angleterre prouve qu'elle est à la pointe de la communication, ses conseillers du moins, en créant The Royal Channel sur YouTube.

Mardi, vers 15 heures, la Reine Mère postera la vidéo de ses voeux 2007. Diffusé en simultané à la télévision, ce message viendra enrichir une chaine où l'on peut voir et revoir les éléments marquants de la famille royale, comme le mariage de Elizabeth, la reine-mère, en 1923, décédée en 2002 à l'âge de 101 ans.

Ce qui est certain, c'est que cette initiative donne du crédit aux sites de partage de vidéos en ligne, et on peut parier que d'autres chefs d'état vont lui emboiter le pas.

samedi 8 décembre 2007

petite info pour les étudiants de Nancy

Nancy : le tribunal administratif refuse l’évacuation du campus par les forces de l’ordre :

Le tribunal administratif (TA) de Nancy a refusé vendredi l’évacuation “au besoin avec le concours de la force publique” des occupants de la faculté de lettres et sciences humaines de Nancy II demandée en référé au président de l’université par un étudiant.

“Une injonction de une ou deux semaines serait la plus intéressante pour laisser au président de l’université le temps de prendre les mesures” adéquates, a estimé le juge du TA, Marc Heinis.

La décision du TA sur un second référé, dit conservatoire, de l’étudiant en première année d’histoire Jean Hingray - soutenu par le syndicat étudiant UNI (droite) -, qui demande le rétablissement de “la continuité du service public”, sera connue lundi.

La faculté de lettres et sciences humaines, bloquée depuis plus de trois semaines, est fermé administrativement depuis jeudi minuit pour une durée indéterminée. “C’est un acte symbolique fort”, a estimé le président de l’université Nancy II François Le Poultier. “Nous la réouvrirons le jour où nous aurons la garantie absolue que les cours pourront reprendre normalement“, a-t-il commenté, rappelant que les autres facultés de Nancy II fonctionnaient sans problème.

Une majorité d’étudiants (52,8% des participants) du campus lettres s’était prononcée lundi par vote électronique pour la reprise immédiate des cours. Des assemblées organisées mardi et jeudi avaient abouti à des résultats contraires.

M. Le Poultier, à la veille de l’audience devant le juge administratif, a préféré fermer le campus, préférant ainsi rentrer dans le jeu des bloqueurs au mépris de la volonté de la majorité des étudiants“, a estimé l’UNI dans un communiqué, condamnant la “passivité” du président dont elle demande la démission.

Un recours à la force publique pour sortir du blocage aurait provoqué un trouble plus grave à l’ordre public“, a répondu François Le Poultier.

© Source AFP

mardi 27 novembre 2007

Humain et robot, des relations possibles?

De plus en plus de chercheurs s'accordent à dire que la relation sexuelle avec un robot devrait constituer un nouveau phénomène de société d'ici cinq ans. L'un d'entre eux, David Levy, estime même qu'avec le développement des logiciels de simulation de personnalité, l'état du Massachusetts pourrait légaliser le mariage humain robot en 2050. Quand la réalité rejoint la (science)-fiction...



L'intelligence artificielle passionne les foules et suscite nombre de questionnements éthiques qui ont maintes fois été explorés par la science-fiction. Le mois dernier encore, Paroles d'auteurs, une émission diffusée par France Culture, invitait Jean-Gabriel Ganascia, professeur à l'Université Pierre et Marie Curie et spécialiste sur la question, à tenter d'éclaircir ce point (la conférence est consultable temporairement ici). Ce qu'il faut en retenir, c'est que même si l'intelligence artificielle peut dépasser les facultés humaines sur certains points comme le calcul, "l'affect" poursuivi par ses promoteurs ne sera jamais plus qu'une tentative de reproduire le plus fidèlement possible les comportements humains.

Mais que se passerait-il si cette simulation devenait si ressemblante, que vous pourriez en tomber amoureux ? C'est la question à laquelle essaie de répondre David Levy, à l'Université de Maastricht. Le chercheur a en effet repris les raisons pour lesquelles les gens tombent amoureux, définies par les psychanalystes. A partir de là, il explique que "la plupart d'entre elles peuvent être appliquées aux relations humain-robot. Par exemple, une chose qui pousse les gens à tomber amoureux sont les similarités avec la personnalité et le savoir, et ces deux traits sont programmables. Une autre raison est que les gens tombent plus facilement amoureux des personnes qui leur ressemblent, ce qui est aussi programmable".

Bien sûr, on est encore loin d'y arriver mais il suffit de considérer le succès de robots pouvant susciter l'affection de son propriétaire, comme les Tamagotchis ou le robot chien Aibo de SONY, pour se rendre compte que l'idée défendue par Levy n'est pas aussi saugrenue qu'elle en a l'air. Dès lors, le chercheur estime qu'avec des robots qui prendront un aspect de plus en plus humain, beaucoup de gens pourront en tomber amoureux, coucher avec, et même se marier. "Ca a l'air un peu bizarre, mais ça ne l'est pas" explique-t-il dans sa thèse. "L'amour et le sexe avec les robots sont inévitables".

Déjà l'année dernière Henrik Christensen, fondateur du réseau européen de recherche en robotique, prévoyait l'arrivée du sexe avec les robots dans cinq ans. Levy, qui s'accorde sur cette estimation, va même plus loin que son homologue. Avec l'apparition de logiciels qui permettent de mieux simuler une personnalité chez un robot, le mariage pourrait être légalisé dès 2050 dans le Massachusetts, un état à la juridiction plus libérale que le reste des Etats-Unis qui avait déjà été précurseur pour le mariage gay.

"Si vous me demandez si tous les humains voudront se marier avec un robot, ma réponse est sûrement que non" explique Ronald Arkin, un chercheur du Georgia Institute of Technology à Atlanta qui ne croit pas à la légalisation du mariage prédite par Levy. "Mais y aura-t-il une minorité ? Il y a déjà des gens prêts à se marier avec des objets sexuels".

De là, les scientifiques se laissent imaginer toutes sortes de scénario. Pour Levy, il s'agirait surtout de remplacer le "chéri, pas ce soir, j'ai une migraine" par "chéri, j'ai une migraine, pourquoi ne pas utiliser ton robot ?" Arkin, lui, voit plutôt les possibles répercutions la prostitution humaine, voire de la pédophilie. "Si vous autorisez un pédophile à utiliser un robot enfant, cela réduira-t-il les abus sur des enfants réels ou l'augmentera ? Je ne pense pas que quelqu'un ait une réponse à ça ; c'est là où les futures recherches devront se pencher".

La dépendance aux jeux vidéos

La dépendance aux jeux vidéos ou en réseau ( MMORPG *) semble commencer à intéresser le corps médical et les médias. Il était temps!

Déjà accusés de favoriser une confusion entre monde virtuel et réalité, voire de développer des comportements violents chez les jeunes, ces jeux sont, depuis quelques mois, désignés en tant que source d'addiction, comme la drogue ou l'alcool.

A l'hôpital Marmottan de Paris, un service accueille des patients de 16 à 25 ans, accros aux jeux vidéo, et consentants pour s'y faire soigner. Quand est-il en province? Rien n'a été fait, ou presque. Une clinique des environs de Lyon, traitant les troubles du comportement alimentaires, les troubles affectifs, et les addictions, les admet. Il en existe sûrement d'autres. Mais seront-ils soignés efficacement?
Une question se pose: les psychiatres sont-ils formés pour faire face à cette nouvelle forme d'addiction? A l'évidence, renseignements pris , il n'en est rien: la plupart reconnaissent ne pas gérer le sujet. Trop neuf! Pas assez de recul. Manque d'information .Mais qu'attendent-il? Une déferlante ?

Quand un ado arrive à passer de 10 à 15 heures par jour à jouer, sur console ou en réseau, sans plus s'investir dans d'autres domaines tels l'affectif, la scolarité, ou encore le sport, il devient pourtant urgent de l'aider!

Ceux qui ont vécu le calvaire d'assister à la déchéance d'un être aimé savent de quoi il est question.

Voici un aperçu des différents troubles qui peuvent être observés, en dehors des prédispositions épileptiques:

-Vie affective, relationnelle (en dehors du jeu) et intellectuelle réduite à la portion congrue.
- Troubles physiques: amaigrissement ( pas de temps pour manger ), négligence du corps ( pas l'envie de se laver, pas le besoin de bouger ), perte du sommeil, perte de l'énergie.
- troubles psychologiques: hésitations à prendre une décision sans être conseillé ou rassuré à outrance, difficulté à exprimer un désaccord envers autrui, manque de confiance en soi, difficulté à faire quelque chose par soi-même, crainte immodérée de la solitude, anxiété, dégradation du caractère (volontairement désagréable), agressivité.

D'après le Dr Marc Valeur, de l'hôpital Marmottan, ces dépendants sont timides, dans beaucoup de cas, issus de familles conflictuelles, qui utilisent ces jeux pour s'extérioriser. Il trouve des points communs entre addiction aux jeux vidéo et addiction aux drogues: la recherche du plaisir, la quête des limites et l'isolement.

Le refuge dans le monde virtuel traduit un refus de l'acceptation du monde réel par manque d'adaptabilité, d'où la recherche d'une échappatoire .

Dans les jeux "on line", l'appartenance à une team renforce ce choix de refuge, parce que ce groupe forme un cercle d'initiés rassurant. Les bouffées émotionnelles et fantasmatiques qui jaillissent au sein d'une équipe servent de booster, avec une nécessité constante d'augmenter ses propres performances mais aussi de trouver un leader. Les psy prétendent que c'est l'image paternelle qui est ainsi remplacée. Acquérir la place de leader devient une obsession et une fois acquise, l'obsession devient de la garder. Le leader n'hésite pas à bannir les opportuns, pour protéger ses acquis.

Certaines règles sociales sont bafouées dans les jeux en réseau. En groupe, les joueurs peuvent voler des objets, tuer des adversaires, et saboter des teams.

Monter un personnage, lui octroyer expérience et objets, cela nécessite du temps chez un néophyte, mais certains joueurs expérimentés maîtrisent les méthodes pour le faire rapidement, et n'hésitent pas à le revendre à d'autres joueurs qui n'ont ni le temps ni la dextérité pour le faire eux-mêmes, tout en désirant accéder à un haut niveau de jeu. Ce commerce se pratique à des tarifs souvent élevés. Certains sont même sponsorisés tant ils attirent le public!

Le but ultime: réussir, être connu et reconnu... Devenir une star.
Pour cela, les joueurs doivent intégrer des guildes de plus en plus puissantes. Dans ces guildes là, le joueur doit être présent même quand il n'en a pas envie, par souci d'esprit de groupe.
Pas facile de décrocher, car la partie n'est jamais fine, à l'opposé des jeux vidéo de combats, programmés pour se terminer, et qui lassent au fil du temps.

En 2006, on comptait déjà un million de joueurs de MMORPG* en France. Et entre 5 et 10% d'accros aux jeux vidéos et online. Comment les aider?


Pour soigner ces addictions, à Marmottan, on propose un sevrage progressif, mais il n'y a que peu de place.
Ailleurs, en province, on propose l'hospitalisation, sans spécificité, dans un cadre où se côtoient, malades mentaux, personnes âgées atteintes de la maladie d'Alzheimer, drogués, alcooliques et suicidés. Comment persuader ces jeunes d'y rester un temps, quand ils sont mineurs? Comment les persuader d'y rentrer quand ils sont majeurs?

Comment réagiriez-vous si vous êtiez confrontés à un problème d'addiction semblable? L'intégration du système de contrôle parental dans les jeux online, vous paraît-elle suffisante?


* Massive Multiplayer Online Role Playing Game : Jeux de rôle en ligne massivement multijoueur ( tels World of warcraft, Dofus, etc...)

vendredi 23 novembre 2007

Téléchargez c'est déconnecté !

Alors que l'industrie du disque vit une crise sans précédent (-50% en 5 ans), le gouvernement réagit en proposant une série de mesures qui, sans être excessives, sont contestées. Car il s'agit de surveiller les internautes de manière à leur envoyer un mail d'avertissement en cas de téléchargement illégal. Avertissement suivit, en cas de récidive d'une lettre recommandée, puis, d'une suspension voire d'une résiliation de l'abonnement internet.


Le président de la FNAC a remit aujourd'hui un rapport sur le téléchargement illégal au Président de la République. Ce dernier a rappelé qu'il s'était engagé sur ce plan en tant que candidat et qu'il respecterait cet engagement. "C'est vrai, il n'a pas changé d'un iota la position qu'il avait exposé en tant que candidat", a commenté après le discours Patrick Bruel, qui avait rencontré sur la question du piratage tous les candidats à la présidentielle.

Le Président de la République a aussi dénoncé le "jeunisme" et la "démagogie" des opposant à la loi. J'en suis un et en cela je m'accorde le droit de répondre à monsieur le Président.

Mon argumentation part de la problématique suivante : l'industrie du disque est-elle en crise ou en mutation ?

On nous parle de crise de l'industrie du disque et pour commencer, je préfère le terme d'industrie de la musique. Car le disque en lui-même, petit ne connait pas de crise particulière, il se vend sous d'autres formes et notamment sous forme de disque vierge. Je ne cherche pas ici à être ironique mais a vous montrer ce en quoi ce domaine est plus en mutation qu'en crise.

Alors parlons de l'industrie de la musique. Dans les faits, la musique se vend moins bien, certes. Mais en aucun cas on en écoute moins. Alors posons-nous les bonnes questions. Comment fait-on pour écouter de la musique sans l'acheter ? Je vous passe le fameux "eh ben on la vole mdr." Non ! Nous nous la procurons par d'autres moyens, plus simples, plus faciles d'accès. sous d'autres formes aussi. Plus adaptées aux moyens que nous employons pour l'écouter. Car aujourd'hui, il est devenu de plus en plus rare de glisser un CD dans un lecteur pour l'écouter. En revanche, on voit tous les jours des jeunes se balader avec des écouteurs. Voilà la réponse : si la musique ou les disque ne se vendent plus, c'est parce que dans la bataille du ludique, le numérique a gagné.

Donc, il apparait clairement que les gens continue à écouter de la musique. Et je défendrai même que la démarche d'aller sur internet entraine une démarche de recherche. Cela est salutaire en ce sens que les gens découvre parfois au hasard de leur recherche une chose qu'ils ne connaissent pas. Et puisque c'est simple, on n'hésite pas à découvrir ces choses nouvelles. Une démarche beaucoup plus rare dans les rayons des magasins où, plus cher, plus matériel, le disque ne pousse pas à la découverte par simple curiosité.

Je pense donc qu'au lieu du projet gouvernemental, dénoncé par l'UFC Que Choisir comme une série de mesure liberticide, il faudrait que l'industrie de la musique s'adapte. Il lui devient indispensable d'entamer sa mutation qui la fera enfin entrer dans le 21ème siècle. Qu'elle passe au numérique, qu'elle cesse de pratiquer des prix exorbitants qui sont de véritables pousse au crime, qu'elle permette au consommateur de se procurer individuellement les chansons de son choix sans attendre la sortie d'un single ou le contraindre à se procurer l'intégralité d'un album car cela s'apparente à du forcing à la consommation.

ET SURTOUT QU'ELLE NE TARDE PAS SANS QUOI ELLE PASSERA A COTÉ DE LA NOUVELLE GÉNÉRATION QUI VA GRANDIR DANS LA CULTURE DU TÉLÉCHARGEMENT !