En ce dernier jeudi du mois de novembre, les américains vont se réunir en 
famille autour d'une dinde et d'un gâteau au marrons pour fêter Thanksgiving. Comme tous les ans, il vont remercier les Indiens et le Ciel d'avoir permis aux premiers pèlerins venus d'Angleterre de s'installer et de vivre sur le sol américain grâce aux bonnes récoltes qu'ils ont pu y faire. Cette fête va marquer le début de la période des achats de Noël.
Traditionnelle période de dépenses, le temps des fêtes de Noël est arrivée. Voilà qu'une horde de consommateurs se prépare à se ruer dans les rues illuminées pour faire les magasins à la recherche de tous les cadeaux qu'ils ont à faire. Car en ce début de XXIème siècle, le cadeau n'est plus systématiquement un acte du cœur mais aussi un acte du portefeuille. La réciprocité est la règle. Il faut faire un cadeau à toutes les personnes de notre liste de contact et à tout ceux qui ont eut "l'amabilité" de nous en faire un. C'est un cercle vicieux (ou vertueux selon certain) de la consommation. A l'image de la carte postale qui demande une réponse, non pas parce qu'on le veut mais parce que la politesse l'exige !
Ainsi, les magasins vont s'illuminer et déployer leurs belles vitrines (la plupart l'on d'ailleurs
déjà fait, bientôt Noël commencera en septembre) attirant en masse des clients scotchés aux vitres. Car la lumière exerce sur les hommes cette même force d'attraction que sur les insectes. Drogués à la lumière, les individus oublient leur soucis et se saoulent dans l'achat. A ce titre ils repensent, objet en main, à des personnes sorties depuis longtemps de leur mémoire. Elles étaient oubliées oui, mais ce cadeau serait super pour eux ! Très bien achetons-le ! Ce sera l'occasion d'aller les revoir !
Car Noël c'est ça aussi. Dans la société de consommation, la fête a perdue une bonne partie de sa connotation religieuse mais s'est-elle pour autant pervertie ? Je pense que ce serait faire un raccourci assez grotesque que de dire cela. Car comme je l'ai dis plus haut, si Noël est devenue commerciale, elle reste un moment privilégié pour penser aux autres. Et dans un monde où l'individualisme est roi et où l'égocentrisme est le règle, cela apparait comme une chose incroyable. On peut encore donc parler de la magie de Noël.
famille autour d'une dinde et d'un gâteau au marrons pour fêter Thanksgiving. Comme tous les ans, il vont remercier les Indiens et le Ciel d'avoir permis aux premiers pèlerins venus d'Angleterre de s'installer et de vivre sur le sol américain grâce aux bonnes récoltes qu'ils ont pu y faire. Cette fête va marquer le début de la période des achats de Noël.Traditionnelle période de dépenses, le temps des fêtes de Noël est arrivée. Voilà qu'une horde de consommateurs se prépare à se ruer dans les rues illuminées pour faire les magasins à la recherche de tous les cadeaux qu'ils ont à faire. Car en ce début de XXIème siècle, le cadeau n'est plus systématiquement un acte du cœur mais aussi un acte du portefeuille. La réciprocité est la règle. Il faut faire un cadeau à toutes les personnes de notre liste de contact et à tout ceux qui ont eut "l'amabilité" de nous en faire un. C'est un cercle vicieux (ou vertueux selon certain) de la consommation. A l'image de la carte postale qui demande une réponse, non pas parce qu'on le veut mais parce que la politesse l'exige !
Ainsi, les magasins vont s'illuminer et déployer leurs belles vitrines (la plupart l'on d'ailleurs
déjà fait, bientôt Noël commencera en septembre) attirant en masse des clients scotchés aux vitres. Car la lumière exerce sur les hommes cette même force d'attraction que sur les insectes. Drogués à la lumière, les individus oublient leur soucis et se saoulent dans l'achat. A ce titre ils repensent, objet en main, à des personnes sorties depuis longtemps de leur mémoire. Elles étaient oubliées oui, mais ce cadeau serait super pour eux ! Très bien achetons-le ! Ce sera l'occasion d'aller les revoir !Car Noël c'est ça aussi. Dans la société de consommation, la fête a perdue une bonne partie de sa connotation religieuse mais s'est-elle pour autant pervertie ? Je pense que ce serait faire un raccourci assez grotesque que de dire cela. Car comme je l'ai dis plus haut, si Noël est devenue commerciale, elle reste un moment privilégié pour penser aux autres. Et dans un monde où l'individualisme est roi et où l'égocentrisme est le règle, cela apparait comme une chose incroyable. On peut encore donc parler de la magie de Noël.
Je vous souhaite à tous de très bonnes fêtes, top départ pour le shopping et surtout n'oubliez personne !
Faites un tour dans notre boutique!!
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